mercredi, août 23, 2006
vendredi, août 18, 2006
jeudi, août 17, 2006
"Une maladie courte et rigolote " de Sarclo
Se réjouir de la lumière
Qu'on va voir venir au matin
Quand on dira que c'était hier
Ce moment qu'on a dans les mains
Les jolis sentiments cuisants
La joie vous écartant les côtes
Et ça vous fait les yeux coulants
Et les veines aussi qui tressautent
Quand je suis heureux, je me sens idiot
Mais j'en profite pour être content
Quand tu m'embrasses, c'est délicieux
Mais ça va bientôt s'arrêter
Dans deux trois minutes on est vieux
Ou triste alors faut profiter
Quand je suis heureux, je me sens idiot
Mais j'en profite pour être content
Et quand je suis content je me trouve beau
Vous avez qu'à en faire autant
Je dis à ceux qu'en ont envie
Ou qui trouvent ma chanson jolie
On meurt tous d'une maladie
Courte et rigolote: la vie
Deux petits qui se partagent une jeunesse
Voient même pas qu'on leur dit bonjour
Dans le bonheur, y a comme une souplesse
Qu'on voit quand on croise de l'amour
Quand je suis heureux, je me sens idiot
Mais j'en profite pour être content
J'essaie de le dire avec des mots
Même si je vois bien que je perds mon temps
www.sarclo.com/
"Y aura pas d'amour aujourd'hui" de Sarclo
Y aura pas d'amour aujourd'hui
Originally uploaded by viou.
Y aura pas d'amour aujourd'hui
Mon café va sentir l'ennui
Mon pinard aura le goût d'eau sale
C'est un scandale
Et quand je pense aux gens dans la rue
Qu'ont pas l'air d'en avoir non plus
Et qui sont là comme ça tout le temps
C'est dégoûtant
Ce matin je me suis réveillé
Peau collante et ventre brouillé
Je me souvenais plus que ça faisait si mal
C'est infernal
J'attendais mieux quand tu revenais
Quand tu partais pas pour de vrai
Ma journée va durer des heures
Et ça m'écoeure
Tu sais, j'ai bien assez à faire
Pour pas trop sentir mon désert
Mais je vois même plus les filles qui passent
C'est dégueulasse
Je sais la douceur dans tes mains
Et la lumière dans tes cheveux
Mais je n'y vois bientôt plus rien
C'est malheureux
Je voudrais encore, tu sais bien
Me sentir beau devant tes yeux
Me sentir aimé pour un rien
J'étais chanceux
Je sais pas pourquoi c'était parfait
Je sais pas comment ça s'est défait
Comment j'ai pu sentir tout ça
On en est là
J'ai pas eu d'amour aujourd'hui
Mon plumard va sentir l'ennui
Se coucher le plus tard possible
C'est pas terrible
J'ai pas eu d'amour aujourd'hui
Mon plumard va sentir l'ennui
Mais j'aime pas pleurer dans la rue
C'est mal fichu
samedi, août 12, 2006
ce soir
mercredi, août 09, 2006
lundi, août 07, 2006
vendredi, août 04, 2006
Regardez l'infini dans les yeux...
le Sage a dit : Regardez l'infini dans les yeux, sans peur ni bravade, sans vanité ni modestie. Mais sachez où vous mettez les pieds.
J.A.Bertrand " Le sage a dit"
au chaud...j'ai rêvé
"(...)Toutes ces années à t'attendre,
C'était comme le feu sous la cendre,
C'était comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit, la nuit, la nuit...(...)"
extrait :"C'est toi " - Michel Jonasz
Tout là-bas, là-bas derrière...
www.louischedid.net/real/lenfant.html
Y a des jours où l'on se sent tellement pas beau
Abonnés absents, groggy, k.o.
Envie de tourner la page
Sables mouvants, marécages
Comme si le monde entier nous faisait la gueule
Abandonné, tellement tout seul
Pour passer entre les gouttes
Quitter cette mauvaise route
Joue, joue, joue, poupées, chiffons
Retrouver en nous, tout au fond
L'enfant qui joue au ballon
Rire pour un oui, pleurer pour un non
Tout là-bas, là-bas derrière
Quelque part bien moins terre à terre
Pigeon vole et cerf-volant
Revoir la vie comme avant
Arrosez, arrosez de peur que ne se fâne
Ce jardin secret, petit coin d'âme
Quand la vie nous fait faux-bond
Chercher l'enfant au ballon
Joue, joue, joue, poupées, chiffons
Retrouver en nous, tout au fond
L'enfant qui joue au ballon
Rire pour un oui, pleurer pour un non
Tout là-bas, là-bas derrière
Quelque part bien moins terre à terre
Pigeon vole et cerf-volant
Revoir la vie comme avant
Revoir la vie comme avant
Sur l'eau qui coule...
Sur l'eau qui coule
Plus vain que d'écrire des chiffres
Est de penser à qui ne pense à vous
anonyme
Koshinshû
Xe sciècle